Couleur locale en sortant de l'aéroport : les taxis jaunes sont là, comme dans les films
On trépigne d'impatience dans le bus qui nous amène à l'hôtel. Dans la brume, les gratte-ciels commencent à se montrer...
Proche de Times Square, l'hôtel se trouve dans fashion district. On lève déjà la tête à tous les coins de rue
Nous voici très vite au cœur d'un des « monuments » de la ville : Times Square. D'immenses buildings, les façades couvertes d'écran géants diffusant de la pub, les cours de la bourse, et plein mal de monde partout.
Une particularité de la ville : le mélange architectural est constant : de vieilles constructions des années 1930 peuvent cotoyer de grandes tours de verre verticales.
Les New Years Eve Whishing Wall : les gens épinglent leurs vœux à la nouvelle année sur de petits post-its
Le quartier de Times Square est l'endroit où l'on trouve la plupart des comédies musicales. Théâtres et boîtes de jazz sont partout, on se fait racoler pour les shows les plus célèbres jusqu'aux one man shows confidentiels. On n'aura pas le temps malheureusement d'y assister, mais on mangera un soir dans le club de B.B. King avec un concert de blues en live très sympa.
On passe l'après-midi à se ballader dans le quartier de Midtown, où on trouve pas mal d'imeubles assez remarquables (par exemple le Chrysler, le Rockefeller center, la Donald Trump Tower, etc, n'en jetez plus la coupe est pleine).
Le rez de chaussée-1er étage de l'immeuble principal du Rockefeller center (qui en compte 21). On aura l'occasion de le revoir. Pas mal d'immeubles de la même époque (années 1930) ont des intérieurs délirants. C'est d'ailleurs aussi un truc à noter, la plupart des beaux gratte-ciels ont des atriums imposants, parfois décros de marbre, de peintures, sculptures, des arbres, des bambous. L'atrium de la Trump Tower occuppe 4 étages, avec une cascade artificielle, des escalators, des cafés...
Encore le Rockefeller center, qui est célèbre pour la photo des travailleurs prenant leur repas sur une poutre en fer à plusieurs dizaines de mètres de hauteur (visible ici
Prométhée dans sa fontaine. C'est à ses pieds qu'on installe la célèbre patinoire en hiver, qu'on voit dans la plupart des films américains se déroulant à NY.
Voilà le genre d'autres curiosités, une cathédrale au milieu des tours en verre, qui donne aussi des airs de Gotham City à la ville
Dans la cathédrale Saint Patrick (toute petite de l'extérieur, mais assez imposante quand même de dans), nous assistons à un concert de musique sacrée. On s’assoit 15minutes pour se reposer un peu.
Cheminée pour évacuer la vapeur des sous-sols.
Visite à l'Apple Store, une institution pour les jeunes branchés technophiles.
Entre 2 buildings, quelques pans du mur de Berlin
La nuit tombe, les lumières s'allument partout, on se sent encore plus petit !
Retour à Times Square la nuit, on y voit comme en plein jour.
Les pintes à 7$, c'est cher mais presque abordable. Globalement se nourrir est assez coûteux si on veut manger correctement, sinon la street food est abordable. Dans les supermarchés, sac de chips ou soda : pas cher, légumes vert : cher.
La vue depuis notre chambre au 16è étage. Les immeubles en briques rouge avec les réservoirs d'eau caractéristiques
Vendredi matin nous avons droit à une visite guidée qui se fait principalement en bus. Première halte dans Central Park. Cet océan de verdure a été entièrement façonné artificiellement. On y respire la verdure, on imagine les New-Yorkais venir ici se détendre. On croise coureurs, cyclistes... Et au loin dépassent toujours les immeubles qui forment ce qui est appelé la Skyline
Les avenues bordant Central Park hébergent son petit lot de stars de cinéma, de la musique, du showbiz (Yoko Ono y possède quasiment tout un étage dans un immeuble). Les hauts étages sont privilégiés pour la vue sur le parc.
L'Empire State Building, le plus haut gratte-ciel de la ville après la chute des twin towers du WTC
La visite guidée se termine assez rapidement après nous avoir menés jusqu'à la pointe S de l'île de Manhattan, dans Financial District. Ici l'Hudson River, et en face le New Jersey. New York est composée de 5 « bourgades » : Manhattan, l'île la plus connue, puis Brooklyn à l'Est, le Bronx au Nord-Est, le Queens entre Brooklyn et le Bronx et Staten Island au Sud-Ouest.
On trouve ici un petit port de plaisance, à deux pas de Wall Street.
Voici une des tours en reconstruction autour du site du World Trade Center.
Les travaux vont bon train pour élever les nouvelles twins, à plus de 500m de haut (les anciennes culminaient à un peu plus de 400). On trouve des visites guidés qui sont menées par des gens qui vraisemblablement étaient là le jour des attentats. Des photos montrent l'état des lieux le 11/09. On a du mal à se rendre bien compte, mais on sent qu'il manque quelque chose. On a visité le mémorial, avec des témoignages du jour dit, mais aussi sur la vie dans les tours avant, et on prend conscience du symbole qu'était le WTC pour les New-Yorkais, et à quel point la blessure a pu être importante.
Wall street, le grand canyon ! La rue porte ce nom car à une époque se dressait ici une barricade en bois pour protéger le sud de l'île des malfrats du nord. Comme quoi la bonne idée de dresser des murs entre les populations ne date pas d'hier. Pas de photos de la bourse proprement dite, le drapeau Américain géant était remplacé par une publicité toute aussi géante...
Les immeubles de Wall Street. On voit en bas le fronton du Federal Hall National Memorial. Washington y préta son serment de premier président des USA. On remarque aussi la forme en escalier des immeubles moins récents que les tours de verre bien verticales. Cette construction permettait notamment de laisser la lumière pénétrer mieux dans les rues (concept qu'on retrouve également par exemple à Barcelone dans les constructions de Gaudi), et également d'éviter qu'une pièce d'un dollar lachée malencontreusement d'une fenêtre du 40è étage ne vienne s'incruster dans le crâne d'un passant dans la rue.
Les architectures sont souvent délirantes, avec des tours, des gargouilles, des arcades aux étages les plus élevés, on verra d'autres exemples plus loin.
Le métro fonctionne 24/24, pas très cher avec le pass 7j ou 30j, les lignes bien desservies. En revanche par rapport à Paris les stations sont énormes et on marche encore plus !
Clémence s’apprête à déguster un délicieux Bagel chez Murray's, une petite chaîne populaire où l'on rencontre 2 Woody Allens, dont 1 qui est né à Paris
Nous passons vendredi après-midi d'abord dans Greenwich Village, ancien repère d'artistes et maintenant zone résidentielle bourgeoise. A noter qu'il est plutôt difficile de savoir où se trouve le quartier bohème/artistes du moment, car très souvent ces derniers investissent un quartier modeste où les loyers sont accessibles. Le quartier devient branchouille, les loyers augmentent et les artistes se déplacent, et ainsi de suite... New-York est donc également une ville en constante migration de populations. Par exemple actuellement les loyers de Harlem grimpent car les étudiants de la prestigieuse université de Columbia y investissent les logements. Du coup la population modeste migre dans le Bronx.
Les perspectives sont à couper le souffle dans cette ville, notamment quand on traverse les avenues rectilignes.
Les maisons assez typiques du Village, de hauteur modeste (même si une tour n'est jamais très loin), avec les escaliers menant à l'entrée, et qu'on voit dans nombre de films... New-York propose un dépaysement complet d'une station de métro à l'autre. On entre dans une bouche au milieu des tours de verre, on ressort plus loin dans un petit quartier bourgeois. Surtout, on sent que la ville « vit », avec son incessant bourdonnement, mais on n'est jamais écrasé.
Il y a pas mal de verdure, souvent de grandes places, soit avec des parcs, soit simplement aux carrefours, de l'espace...
Pour les fans, l'immeuble de Friends.
Autre curiosité, la maison la plus étroite de New-York : 2m70
Toujours dans Greenwich
Entre les blocs, les échelles de secours qui équipent tous les bâtiments antérieurs à une certaine date que j'ai oubliée, suite à un grand incendie début Xxè. Ces petites cours sont parfois aménagées en jardinet pour apéro comme ici, des fois c'est moins reluisant (dépôt d'ordures, etc.)
Nous passons dans la librairie Barnes & Noble, une institution, où l'on achète un bouquin de recettes de la célèbre pâtisserie Magnolia (celle de la série Sex and the City). Ensutie, travaux pratiques dans la dite pâtisserie, minuscule, blindée de monde et de gâteaux aux allures caloriques et succulentes. Cupcake et Carrot cake, que nous dégustons en face dans un parc. A se pâmer.
Pour absorber ce regain d’énergie, nous montons vers le nord du quartier où se trouve Meatpacking District, les anciens abattoirs, avec de grands entrepôts en brique rouge.
C'est ici que se dresse la highline, promenade érigée en lieu et place de l'ancienne voie de chemin de fer qui déposait ici les animaux. A l'origine au niveau de la rue, elle a été sur-élevée pour éviter les trop nombreux accidents.
Du haut de la highline, vue dégagée sur les artères, et les immeubles au loin.
Encore plus au Nord, le quartier de Chelsea renferme un petit bijou niché dans un vieil entrepôt, le Chelsea Market. Le batiment a été conservé d'origine, avec son sol marqué, la patine, etc. On y trouve une fabrique de cup-cakes rigolos, et surtout des Brownies délicieux qui pèsent le poids d'une brique.
Un coup de métro plus tard et nous sommes au départ du ferry pour Staten Island, coucher de soleil en guise d'apéritif avec vue sur la pointe S de Manhattan, la Statue de la Liberté...
Une vue du genre de mélange architectural qu'on trouve à N-Y. Les grues sur la droite sont le chantier de reconstruction du WTC.
Les ponts de Brooklyn (pile en pierre) et Manhattan (acier) et les bâtiments de Brooklyn, quartier DUMBO
De retour à la pointe S de Manhattan, dans la station du Ferry, contemplation des tours de verre
Le Charging Bull de Financial District, tout seul à la tombée de la nuit. En journée les passants se pressent pour se faire photographier à ses côtés. Deux positions préférées, soit en lui tenant les cornes, soit en lui tenant les bourses.
Nous mangeons le soir au 2nd Avenue Deli dans Four Squares, cuisine juive au menu. Beignets pour Clém, et sandwich au Pastrami pour moi (remarquez la proportion pain/garniture...). Les serveurs sont toujours adorables (peut-être parce qu'ils aiment soigner les touristes, ou parce que la majorité de leur paye est dûe aux pourboires....), on nous demande d'où on vient, on passe 5 minutes à nous expliquer la carte, à nous dire ce qu'ils préfèrent, les spécialités de la maison, etc, et ça dans chaque resto !
En revenant vers l'hôtel, on passe devant Macy's, le plus grand magasin du monde. Devant, une petite place avec des chaises, parasols, impeccables (on imagine la même chose en France : en deux jours la moitié des chaises a disparu, les autres sont déglinguées...)
Samedi, on remets nos pieds et on part chez Woody Allen dans Brooklyn.
Une touriste boit son Starbuck's pas bon à un carrefour de Brooklyn.
Le Manhattan Bridge.
Un petit parc au bord de l'eau sous le Manhattan Bridge. Au fond, la skyline.
On traverse le quartier de Dumbo, d'anciens entrepôts (c'est d'ici que partait les livraisons des fermes vers Manhattan avant la construction du pont), et on arrive dans le quartier de Brooklyn Heights
Ici on retrouve de charmantes maisons de bois.
On rejoint ensuite le pont de Brooklyn, à deux étages : en haut, piétons et cyclistes, en bas les voitures. La vue sur la skyline est démente.
Le City Hall (hôtel de ville), assez Gotham City.
On rejoint à pinces le quartier de Soho, qui fut à une époque le quartier des artistes et qui maintenant est super cher.
Soho est aussi le quartier des Cast-Iron buildings : immeubles à armature en fonte qui permettait de faire de grands volumes, avec des plafonds hauts, etc. Les façades sont caractéristiques, avec souvent des colonnades pour maquiller les poutres de fonte.
Colonnes et escaliers
On va ensuite se remplir la panse dans un petit Mexicain génial, ambiance couleur locale, bouffe excellente et copieuse (comme souvent)
Un petit tour dans Tribeca, puis China Town : d'un coup à un coin de rue, des chinois partout, ca parle chinois, musique chinoise, etc. Il paraît que certains chinois ici n'ont jamais parlé anglais de leur vie
Dans la continuité, Little Italy, qu'on pourrait renommer Italy Street, tant les quartier a été englouti par Chinatown. Parfum plutôt artificiel, en tout cas rue bondée.
Autre curiosité pour moi : les vélos sont souvent équipés d'accessoires personalisés, de chaînes de couleur, etc. Par contre, très peu de motos, et quasi aucun scooter, il faudrait envahir le marché.
Un immeuble à Union Square. Notez la taille de l'horloge.
Union Square
Un autre des plus connus buildings de N-Y, le Flat Iron (car il a la forme d'un fer à repasser). En son temps le plus bâtiment de la ville, et avec climatisation, s'il vous plaît.
Petit tour dans Macy's qu'on a vu plus haut. 9 étages, le tout sur un pâté de maison. J'ai jamais rien vu d'aussi grand (tout ça pour y entasser des fringues et du linge de maison, quel dommage, on aurait pu y mettre du matos de randonnée, de VTT...)
Direction ensuite la gare Grand Central Terminal. Le plafond présente des constellation éclairées (là on ne le voit pas). C'est immense, et les trains arrivent sur des voies à plusieurs niveaux.
C'est dans le sous-sol qu'on trouve une boutique de Junior's, les plus fameux chessecakes de N-Y. On en prendra un complet (l'appel du ventre est trop fort) et on mettra 3 jours à le terminer. Délicieux et indécent.
Retour, encore une fois, au Rockefeller Center pour monter cette fois sur le toit et assister au couché du soleil.
La vue en haut est époustouflante, hypnotique. On se rend vraiment compte de la dimension et de la densité des gratte-ciels. Il y en a partout, on se demande comment ça ne se touche pas ! Au Nord, vue sur l'océan de verdure de Central Park.
Vers l'Ouest, le Queens.
Au Sud, les différents quartiers : Times Square, Theater District, Chelsea, Greenwich, Financial, etc.
A l'Est, le New-Jersey
La nuit tombe, floraison de lucioles.
Times Square
Après ce moment magique, nous redescendons manger dans le club de Blues de B.B. King, vers Times Square, où on mange notre meilleur repas : concert live de blues, ribs fondantes et délicieuses pour Clém et un excellent poisson pour moi.
Dimanche matin nous partons tôt rejoindre Battery Park à la pointe S de Manhattan, où l'on récupère les billets pour la Statue de la Liberté et surtout Ellis Island où se trouve le musée de l'immigration, seul musée que nous allons visiter pendant le séjour, avec le mémorial du 11/09. C'est le seul moyen d'espérer ne pas faire 2 ou 3h de queue, d'abord aux billets et ensuite à l'embarquement du ferry où on se fait fouiller comme dans un aéroport. Clémence ici devant encore des buildings et Battery Park, qui était un petit îlot avant le comblement du bras de mer le séparant de Manhattan avec les gravats extraits pour creuser les fondations des buildings.
Et voici la célèbre Statue de la Liberté, dont les visage représente la mère de Bartholdi, le concepteur (français, franc-comptois pour ceux qui ne connaissent pas)
Et voici donc une vue qui ressemble à ce que voyaient les immigrés en arrivant sur les côtes du nouveau monde. La Statue était également un phare.
Les immigrés étaient ensuite déversés sur Ellis Island, et étaient accueillis dans ce qui est maintenant le musée de l'immigration, très intéressant à visiter. Ici au rez-de-chaussée ils déposaient leur bagages à la consigne, puis prenaient l'escalier au fond de la pièce, où des médecins les observaient monter les marchent et notaient à la craie sur leurs vêtements les possibles maladies qui pouvaient les affecter. Ils étaient ensuite dirigés vers les services médicaux pour une examination plus poussée.
A l'étage, il faut imaginer des bancs et une foule innombrable. Le contrôle administratif se faisait ici.
Un musée vraiment très intéressant, qui donne une bonne idée du parcours des candidats à l'immigration.
On passe ensuite un bon moment dans le métro après le retour sur Manhattan pour remonter jusqu'à Harlem.
On va manger chez Jacob's, resto décrit dans le guide du routard où on se sert dans un énorme buffet et on paye au poids. Dans le resto, pianiste et chanteuse, sympa.
En revanche, drôle d'effet de se retrouver au milieu d'une salle à moitié remplie de français, les inconvénients du routard.
Après ce repas en demi-teinte, on quitte les grandes avenues et on retrouve un peu d'authenticité. Ici dans Harlem, parmis les plus vieilles maisons de la ville. On se retrouve cette fois dans un film de Clint Eastwood genre Gran Torino : proches, petits jardinets...
Autre architecture classique de Harlem, les Brownstones, de la couleur de leurs pierres, de grandes bâtisses impressionnantes.
Après avoir encore un peu déambulé, on redescend cette fois dans Upper West Side. Encore un drôle de mélange, avec ici un hôtel dans un joli style parisien
Etal de pendentifs dans un marché de rue
Zabar's... Comment dire. Si vous cherchez un truc qui se mange, c'est là-bas que ça se passe.
Ils ont les meilleurs fromages du monde (on y trouve du petit basque, du camembert, tout ce que vous voudrez)
Tous les autres étals sont pareils. Il y a de TOUT ! Des biscuits succulents, des poissons séchés...
On rencontre un gars qui nous propose d'aller chez Dean et Deluca pour prendre des photos d'épicerie. Il nous explique ensuite que ce magasin a d'abord occupé la maison du coin de la rue, puis acheté la suivante, puis la suivante etc, pour former maintenant ce supermarché de quartier assez imposant. De manière générale, les Américains sont vraiment très accueillants. Impossible de rester plus de 10 secondes à un carrefour un plan à la main sans que quelqu'un vienne nous demander où on va, si on cherche quelque chose, d'où on vient, et de commencer à discuter. Le civisme est bien plus développé que chez nous, ça donne honte d'être français. Les gens ramassent les crottes de leurs chiens...
D'autres façades dans Upper west Side
Impossible de passer devant ce temple sans y entrer. On n'y a même pas trop dépensé !
Oui oui, on est bien dans une des plus grandes mégapoles du monde ! Dans central park précisément, pas dans la montagne.
Un monde fou. Des concerts improvisés ou nous, des familles, des groupes de copains, des joggers, des cyclistes, des mariages, le poumon vert est une vraie fourmillière.
Concert de vuvuzellas.
Le manque de place a créé ce genre de parkings, où on superpose les voitures, parfois jusqu'à 4 étages. Il y a un gardien qui a toutes les clés, et quand le gars du haut veut sa voiture, il sort toutes les autres une par une et les range ensuite. Ca explique probablement pourquoi il y a tellement de taxis, environ les 2/3 de la circulation.
Le hall de notre hôtel
Lundi matin, dernière demi-journée déjà, et pourtant on vu tellement de trucs qu'on a du mal à se rappeller où et ce qu'on a mangé hier soir. D'ailleurs, la veille, excellente pizza dans East Village. Gros orage le matin, on se demande si on va pouvoir mettre le nez dehors. Le temps de prendre le petit déjeuner et le ciel s'ouvre.
Dernière visite au Rockefeller Center (ici la porte d'entrée principale), pour un nouvel aller-retour sur le toit (le billet 2 visites était à peine plus cher)
Dans l'atrium qui mène aux ascenseurs pour le toit (67 étages, moins d'une minute, toit en verre, on voit les murs défiler à toute vitesse)
Du toit, on voit l'orage qui s'éloigne vers l'Est. Central Park, toujours aussi immense.
Les touristes !
Le Chrysler building, recouvert de plaques d'inox, on le reverra.
La bibliothèque
Cet immeuble abrite une banque, me semble-t-il.
Le Chrysler building de près : on commence par le hall, tout en marbre rouge, on aperçoit les portes des ascenceurs, également décorés de mosaïques en marbre. Délirant.
A l'extérieur, porte d'entrée, et toujours le drapeau américain, omniprésent.
En face, autre immeuble recouvert d'inox, en écho.
Un peu de recul. Sacrée construction quand même (datant de 1930!)
Détail des étages supérieurs, avec les gargouilles en tête d'aigle
Nous bouclons notre séjour par un petit tour dans Chelsea, briques rouges, rouelles et maisons à taille humaine.
Il nous manquait une photo des camions de pompiers de NY
Encore une petite curiosité pour technophiles : à l'aéroport de JFK, un distributeur d'Ipods et autres machins électroniques.
